En 1990, 60 % des français considéraient que le travail était « très important » dans leur vie, aujourd’hui ils ne sont plus que 24 %


La Fondation Jean-Jaurès et l’Ifop ont mené une étude auprès des français afin de mesurer les conséquences au long cours de la crise sanitaire, en particulier sur leur motivation :

– dans leur vie quotidienne, 32 % se disent moins motivés

Illustrant cette baisse de motivation, 45% des Français disent avoir régulièrement la « flemme » de sortir de chez eux, dont 52 % parmi les 25-34 ans et 53% auprès des 35-49 ans, contre seulement 33% des soixante-cinq ans et plus.

– 37 % sont moins motivés dans leur travail

En 1990, 60% des sondés répondaient que le travail était « très important » dans leur vie. Ils ne sont plus aujourd’hui que 24% à le penser.

A l’inverse, 31 % répondaient que les loisirs étaient « très importants » dans leur vie; ils sont aujourd’hui 41 % à faire cette réponse.

Quand 62% des 65 ans et plus adhèrent à la maxime « il faut souffrir pour réussir », ils ne sont que 38 % parmi les 18-24 ans et 43% parmi les 25-34 ans.



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