Le sabotage intervenu le 26 septembre et qui a causé 4 fuites.
Ces 70 000 tonnes correspondent aux émissions de la ville de Paris pendant un an ou à 1,4 % des émissions annuelles françaises.
Le potentiel de réchauffement global (PRG) à 100 ans du méthane est 25 fois plus élevé que celui du CO2. Le PRG traduit la puissance de l’effet de serre d’un gaz.
Même si son PRG est beaucoup plus faible, le CO2, du fait de l’importance de ses émissions, pèse à hauteur de 65 % dans le réchauffement climatique, beaucoup plus que le méthane (17%).
Les 70 000 tonnes de méthane relâchés n’auront qu’un effet résiduel sur le réchauffement climatique.
Les modèles montrent que le pic de l’impact se produira autour de 2030, à hauteur de quelques millionièmes de degré.
Sources :